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السبت، 26 يناير 2008

...Ty...



Ty

...Twój wzrok blady, zamglony,
miłością obdarzony
Jak marzenie niespełniony,
wciąż oddalony i zaćmiony
Niczym szczyty górskie
zaśnieżony, zaciekawiony
Naprawdę inny, wyjątkowy..
po prostu w moje serce złowiony...

by Wiolka

...ajjj...taki zabiegany jestem, żę i Blogusia swojego zaniedbuję...niedobrze...trzebabędzie sie trzymać pisania hehe...no a poza tym...wczoraj jakaś nowa mania mnie dopadła...Zonecke zresztą też...maniaki :P...tak tak...My tak mamy czasem ;) ...i za to właśnie ja kocham...że potrafi dzielić wszystkie szaleństwa ze mną...smutki...tak jak dzisiaj...też...
...Kocham Cię Kruszynko...i niech ten sen słodko trwa...


...Ty...



Ty

...Twój wzrok blady, zamglony,
miłością obdarzony
Jak marzenie niespełniony,
wciąż oddalony i zaćmiony
Niczym szczyty górskie
zaśnieżony, zaciekawiony
Naprawdę inny, wyjątkowy..
po prostu w moje serce złowiony...

by Wiolka

...ajjj...taki zabiegany jestem, żę i Blogusia swojego zaniedbuję...niedobrze...trzebabędzie sie trzymać pisania hehe...no a poza tym...wczoraj jakaś nowa mania mnie dopadła...Zonecke zresztą też...maniaki :P...tak tak...My tak mamy czasem ;) ...i za to właśnie ja kocham...że potrafi dzielić wszystkie szaleństwa ze mną...smutki...tak jak dzisiaj...też...
...Kocham Cię Kruszynko...i niech ten sen słodko trwa...


الجمعة، 25 يناير 2008

Sacrée soirée, c'est l'assassin.

Lâche l'affaire, mon Clo.

Même dans un monde de parfaite harmonie,
tu aurais déjà perdu deux dents,
à vouloir croquer dans le bitume.

- C'est un gros connard, avec un ego démesuré qu'il sait pas gérer.
Il est naif, c'est un pauvre con.
Il fait des vieilles manoeuvres toutes pourries, sans intérêt,
il croit qu'il arrivera un jour à quelquechose.
Un looser, un putain de looser.
De la merde.
Lui, c'est de la merde.

Clovis pouvait parler des heures de lui-même et de l'appât du gain.
Avec beaucoup - mieux, énormément - d'amour et d'entrain.
D'un façon bien artificielle, avec des phrases entières.

Ce qui est rare est cher. Et ce qui est cher est rare.
C'était sa façon d'être sophiste. Sans prétentions.

Fils se sent ivre de joie dans sa petite pouliche,
noble tentative d'arriver avant les autres pour devenir comme eux.
Pourquoi toi la lumière, c'est normal?
Tu prêches trop, tu t'endors avec tes mots.
Le Prozac a les mains sales avec toi, c'est pas Las Vegas.

C'est du vent.

Sacrée soirée, c'est l'assassin.

Lâche l'affaire, mon Clo.

Même dans un monde de parfaite harmonie,
tu aurais déjà perdu deux dents,
à vouloir croquer dans le bitume.

- C'est un gros connard, avec un ego démesuré qu'il sait pas gérer.
Il est naif, c'est un pauvre con.
Il fait des vieilles manoeuvres toutes pourries, sans intérêt,
il croit qu'il arrivera un jour à quelquechose.
Un looser, un putain de looser.
De la merde.
Lui, c'est de la merde.

Clovis pouvait parler des heures de lui-même et de l'appât du gain.
Avec beaucoup - mieux, énormément - d'amour et d'entrain.
D'un façon bien artificielle, avec des phrases entières.

Ce qui est rare est cher. Et ce qui est cher est rare.
C'était sa façon d'être sophiste. Sans prétentions.

Fils se sent ivre de joie dans sa petite pouliche,
noble tentative d'arriver avant les autres pour devenir comme eux.
Pourquoi toi la lumière, c'est normal?
Tu prêches trop, tu t'endors avec tes mots.
Le Prozac a les mains sales avec toi, c'est pas Las Vegas.

C'est du vent.

الخميس، 24 يناير 2008

...dziękuję...





...Dziękuje za Twój uśmiech,otwarte okno Twego istnienia.
Dziękuje za Twe spojrzenie, zwierciadło Twojej uczciwości.
Dziękuje za Twoje łzy, które są znakiem, że dzielisz radość lub smutek.
Dziękuje za Twoją rękę, zawsze wyciągniętą, aby dać lub otrzymać.
Dziękuje za Twoje objęcia, które są szczerą gościną Twojego serca.
Dziękuje za Twoje słowo, wyraz tego, co kochasz i w czym pokładasz nadzieję.
Dziękuje, że Jesteś...


...nic dodać nic ująć... :) ...a nie można jeszcze pisać...dzięki Tobie życie cudem jest... :) ...

...dziękuję...





...Dziękuje za Twój uśmiech,otwarte okno Twego istnienia.
Dziękuje za Twe spojrzenie, zwierciadło Twojej uczciwości.
Dziękuje za Twoje łzy, które są znakiem, że dzielisz radość lub smutek.
Dziękuje za Twoją rękę, zawsze wyciągniętą, aby dać lub otrzymać.
Dziękuje za Twoje objęcia, które są szczerą gościną Twojego serca.
Dziękuje za Twoje słowo, wyraz tego, co kochasz i w czym pokładasz nadzieję.
Dziękuje, że Jesteś...


...nic dodać nic ująć... :) ...a nie można jeszcze pisać...dzięki Tobie życie cudem jest... :) ...

الثلاثاء، 22 يناير 2008

...Twój powrót...piękny dzien...


Gdy sam na sam z tobą siedzę,
Nie mam czasu o nic pytać:
Patrzę w oczy, ustek śledzę,
Chciałbym wszystkie myśli czytać
Wprzód, nim w oczętach zaświecą;
Chciałbym wszystkie słówka chwytać
Wprzód, nim od ustek odlecą; —
I nie potrzeba tłumaczyć,
Co chcę słyszeć, co zobaczyć.
Rzecz nietrudna i nienowa,
Moja luba! te dwa słowa:
K o c h a m c i e b i e, k o c h a m c i e b i e.

Innego nie chcę widoku,
Kiedy z tobą będę w niebie;
Tylko niech te dwa wyrazy,
Napisane w twoim oku,
Odbite po tysiąc razy
Widzę wszędzie wkoło siebie.
I innej muzyki w niebie
Nie chcę od wschodu jutrzenki
Słyszeć do zachodu słońca;
K o c h a m c i e b i e, k o c h a m c i e b i e.


...mmm...dzisiaj był dobry dzień...najpiękniejszy...Mój Skarbuś wrócił...i jest...ajjj...ja to chce jednego...chce dla Niej kochać...dla Niej żyć...mrrr...mojaa... :** ...

...ale wies co...wróciłaś...w cassss...
:P ...ciiii...K.T.M. i to najweriii <>

...Twój powrót...piękny dzien...


Gdy sam na sam z tobą siedzę,
Nie mam czasu o nic pytać:
Patrzę w oczy, ustek śledzę,
Chciałbym wszystkie myśli czytać
Wprzód, nim w oczętach zaświecą;
Chciałbym wszystkie słówka chwytać
Wprzód, nim od ustek odlecą; —
I nie potrzeba tłumaczyć,
Co chcę słyszeć, co zobaczyć.
Rzecz nietrudna i nienowa,
Moja luba! te dwa słowa:
K o c h a m c i e b i e, k o c h a m c i e b i e.

Innego nie chcę widoku,
Kiedy z tobą będę w niebie;
Tylko niech te dwa wyrazy,
Napisane w twoim oku,
Odbite po tysiąc razy
Widzę wszędzie wkoło siebie.
I innej muzyki w niebie
Nie chcę od wschodu jutrzenki
Słyszeć do zachodu słońca;
K o c h a m c i e b i e, k o c h a m c i e b i e.


...mmm...dzisiaj był dobry dzień...najpiękniejszy...Mój Skarbuś wrócił...i jest...ajjj...ja to chce jednego...chce dla Niej kochać...dla Niej żyć...mrrr...mojaa... :** ...

...ale wies co...wróciłaś...w cassss...
:P ...ciiii...K.T.M. i to najweriii <>

Tombez les masques! Clovis est inhumain!

Sa tombe n'existera jamais, c'est un sac.
Petite maison, petite terre d'espérance, avec mon petit vélo,
Je t'aurais eu, si tu étais encore.
Je pense que tu es.
Apprivoisée.

Et le crématoire, pourquoi pas si personne ici ne fait fortune.
Dans l'immédiat, c'est plus des 120 jours impalpables dont on a besoin.
Chat mort. Chat vivant. Cyclique. Moi, je, égocentrisme.

Visiblement, il y a méprise.
Toujours en posture receptive, depuis l'an, disons.
Même pas sûr de soi, et l'ego n'existe plus, surtout parmi eux.

- Fils, qu'essayes tu de te remémorer?
- Je...
- Oui?
- Bah... Le... Le bonheur.
Je crois bien que c'est du bonheur dont je parle.
- Crois-tu vraiment que ça existe?
- Non.

Ce Flamby, on peut dire que je vais le crever.

Alors.

Va apprécier.

Tombez les masques! Clovis est inhumain!

Sa tombe n'existera jamais, c'est un sac.
Petite maison, petite terre d'espérance, avec mon petit vélo,
Je t'aurais eu, si tu étais encore.
Je pense que tu es.
Apprivoisée.

Et le crématoire, pourquoi pas si personne ici ne fait fortune.
Dans l'immédiat, c'est plus des 120 jours impalpables dont on a besoin.
Chat mort. Chat vivant. Cyclique. Moi, je, égocentrisme.

Visiblement, il y a méprise.
Toujours en posture receptive, depuis l'an, disons.
Même pas sûr de soi, et l'ego n'existe plus, surtout parmi eux.

- Fils, qu'essayes tu de te remémorer?
- Je...
- Oui?
- Bah... Le... Le bonheur.
Je crois bien que c'est du bonheur dont je parle.
- Crois-tu vraiment que ça existe?
- Non.

Ce Flamby, on peut dire que je vais le crever.

Alors.

Va apprécier.

Il attend. Attend. Attend pour voir.

Il y a toujours des vers dans la confiture.
Tu donnes ma main, la parole vrombit.
Sous le divan, pardi, il y a des immondices.
C'est le subconscient qui refoule tout ça dans la bergerie.

- Je ne tiendrai pas. Je ne survivrai pas, assure Clovis, désinvolte.
Mais la raison le pousse à pousser l'expérience.
Et vomir le pain, c'est pas interdit.
Qu'on soit croyant ou non, c'est immuable.

Et Claude, Claude et re-Claude,
Parce que je crois quand même qu'il est encore vivant, et plusieurs.
Sans lâcher d'infos sur l'ignoble homme de la veillée de l'armistice,
car c'est non dans ce cas.
J' en aurais dans mon magma, des cubis, alors tant de haine, ça défoule!
Non, il ne brûle pas les yeux,
il rend juste le poisson un peu plus noir chaque jour.

- Pourquoi desfois, y'a des gens, et desfois, y'en a pas?
- Ferme ta gueule! lui aboie Mamy. Tu dors?

Non. Très peu en fait. Très peu. Sauf desfois.

- Fils et Clovis vont trop loin dans les sous-entendus verreux,
- Ha!
- Sans jamais dire ce qu'ils pensent. s'inflige la vieille.
Ils se mettent eux-mêmes dans un malêtre, c'est la raison.

Elle est sage.

Il attend. Attend. Attend pour voir.

Il y a toujours des vers dans la confiture.
Tu donnes ma main, la parole vrombit.
Sous le divan, pardi, il y a des immondices.
C'est le subconscient qui refoule tout ça dans la bergerie.

- Je ne tiendrai pas. Je ne survivrai pas, assure Clovis, désinvolte.
Mais la raison le pousse à pousser l'expérience.
Et vomir le pain, c'est pas interdit.
Qu'on soit croyant ou non, c'est immuable.

Et Claude, Claude et re-Claude,
Parce que je crois quand même qu'il est encore vivant, et plusieurs.
Sans lâcher d'infos sur l'ignoble homme de la veillée de l'armistice,
car c'est non dans ce cas.
J' en aurais dans mon magma, des cubis, alors tant de haine, ça défoule!
Non, il ne brûle pas les yeux,
il rend juste le poisson un peu plus noir chaque jour.

- Pourquoi desfois, y'a des gens, et desfois, y'en a pas?
- Ferme ta gueule! lui aboie Mamy. Tu dors?

Non. Très peu en fait. Très peu. Sauf desfois.

- Fils et Clovis vont trop loin dans les sous-entendus verreux,
- Ha!
- Sans jamais dire ce qu'ils pensent. s'inflige la vieille.
Ils se mettent eux-mêmes dans un malêtre, c'est la raison.

Elle est sage.

الاثنين، 21 يناير 2008

"Clovis, c'est moi.

Je sais dire bonjour,
Je peux mettre la table, faire la vaisselle et à manger.
Je dors, de 7 à 9h par nuit, de 49h à 63h par semaine,
Et ceci avec une marge d'erreur tout à fait négligeable.
Je m'intéresse à l'art, à la vie, à la mort mais peu.
Je communique.
Le plus souvent avec des êtres de même nature que moi.
J'aime, je déteste, parfois.
Souvent, je m'en fous.
J'essaye de vivre, je comprends, j'apprends.
J'accepte, je refuse, j'expérimente.
Je suis doué de défauts et de qualités.
Je possède quelques amis.
Je suis en bonne santé, physique et mentale.
Je m'intéresse à toutes sortes de pratiques en vogue.
Sans raison apparente, je n'ai jamais eu de ténia ou de fistule.

Il n'y a rien à dire sur moi,
Je suis un produit tout à fait normal.

Je suis un enfant comme les autres."

"Clovis, c'est moi.

Je sais dire bonjour,
Je peux mettre la table, faire la vaisselle et à manger.
Je dors, de 7 à 9h par nuit, de 49h à 63h par semaine,
Et ceci avec une marge d'erreur tout à fait négligeable.
Je m'intéresse à l'art, à la vie, à la mort mais peu.
Je communique.
Le plus souvent avec des êtres de même nature que moi.
J'aime, je déteste, parfois.
Souvent, je m'en fous.
J'essaye de vivre, je comprends, j'apprends.
J'accepte, je refuse, j'expérimente.
Je suis doué de défauts et de qualités.
Je possède quelques amis.
Je suis en bonne santé, physique et mentale.
Je m'intéresse à toutes sortes de pratiques en vogue.
Sans raison apparente, je n'ai jamais eu de ténia ou de fistule.

Il n'y a rien à dire sur moi,
Je suis un produit tout à fait normal.

Je suis un enfant comme les autres."

...jestem...po prostu...


Spoglądam czasem w lustro...
Czy jestem jeszcze tam ?
Dlaczego komplikuję sobie całe życie ?
Przecież im mniej posiadam, tym więcej mam...


...fajny tekst...z piosenki Łez...no właśnie...czy jestem tam jeszcze ?...pewnie, że jestem...w końcu mam dla kogo żyć...dla kogo kochać...marzyć i śnić... :*** ...
...no a życie...hehe...no właśnie co z nim...nie myślmy tyle o życiu...nie gońmy za kasą...bo to nie znaczy nic...nie wiem jak Wam...ale mi wystarczy Jej uśmiech...to, że czuję Ją...to jest największy Skarb...
...Kotek...ja chyba na serio nie umiem żyć bez Ciebie już... :P ...oććć
:*** <>...
...kiedyś pisanie bloga było dla mnie czymś więcej...nie wiem czemu teraz tak nie jest...nie wiem...po prostu...ale różnicę widzę sam...i czuję...ehh nieważne...nie warto wracać do tego co było...zamknięty rozdział...blog skasowany...śmierć na torach...to tyle...
...teraz jestem inny...czy lepszy...nie wiem...czy gorszy...nie wiem...po prostu...jestem...
:) ...

...jestem...po prostu...


Spoglądam czasem w lustro...
Czy jestem jeszcze tam ?
Dlaczego komplikuję sobie całe życie ?
Przecież im mniej posiadam, tym więcej mam...


...fajny tekst...z piosenki Łez...no właśnie...czy jestem tam jeszcze ?...pewnie, że jestem...w końcu mam dla kogo żyć...dla kogo kochać...marzyć i śnić... :*** ...
...no a życie...hehe...no właśnie co z nim...nie myślmy tyle o życiu...nie gońmy za kasą...bo to nie znaczy nic...nie wiem jak Wam...ale mi wystarczy Jej uśmiech...to, że czuję Ją...to jest największy Skarb...
...Kotek...ja chyba na serio nie umiem żyć bez Ciebie już... :P ...oććć
:*** <>...
...kiedyś pisanie bloga było dla mnie czymś więcej...nie wiem czemu teraz tak nie jest...nie wiem...po prostu...ale różnicę widzę sam...i czuję...ehh nieważne...nie warto wracać do tego co było...zamknięty rozdział...blog skasowany...śmierć na torach...to tyle...
...teraz jestem inny...czy lepszy...nie wiem...czy gorszy...nie wiem...po prostu...jestem...
:) ...

الجمعة، 18 يناير 2008

Il a défenestré quatorze,
ainsi il a rompu avec. Non.

Clovis se sent plutôt jouassouille.

C'est un peu à cause de toi. Bah non.
Un coeur.
Six fois. Deux Pascal. Douze grammes.

- Tu...
- AH! AH! MOUAHAHA!
- Et tu ne réponds pas?
- Mais Clovis... Je t'ai répondu.
- NE PASSE PAS PAR LE RÔTI. MANGE DIRECTEMENT LA MERDE.

Bonne soirée. Soirée de haine.

Il a défenestré quatorze,
ainsi il a rompu avec. Non.

Clovis se sent plutôt jouassouille.

C'est un peu à cause de toi. Bah non.
Un coeur.
Six fois. Deux Pascal. Douze grammes.

- Tu...
- AH! AH! MOUAHAHA!
- Et tu ne réponds pas?
- Mais Clovis... Je t'ai répondu.
- NE PASSE PAS PAR LE RÔTI. MANGE DIRECTEMENT LA MERDE.

Bonne soirée. Soirée de haine.

الخميس، 17 يناير 2008

Ta longue robe d'été, pourquoi elle a six doigts?
Sacré rappel de soupe sacralisée, c'est d'abord le faquin, puis la kefta.
Peut-être qu'un dirigeable de style empire ferait bonne impression au four banal?

La violence du nouveau patriote de Fils est toujours sous-estimée.
Clovis tranche mais ne mourra pas demain. On parle souvent de lui.
Pignole. Tromblon. Pignole. Tromblon.
Et dans un nombre impair de système vaseux, c'est pas priape par principes.

Le foie flanche, mais il le fera tranquillou.
Comme on berce un enfant,
de ces sales cons insensibles repus d'innocence.
Dentition fragile, crâne capricieux, joues tripotées et tordues, ongles irascibles,
Facture grossière, oesophage indolore, le genou n'en parlons pas.

La déontologie en politique et en finances, ça donne.
Et si j'en crois Clovis,
il s'en fout, heureux homme.

Ta longue robe d'été, pourquoi elle a six doigts?
Sacré rappel de soupe sacralisée, c'est d'abord le faquin, puis la kefta.
Peut-être qu'un dirigeable de style empire ferait bonne impression au four banal?

La violence du nouveau patriote de Fils est toujours sous-estimée.
Clovis tranche mais ne mourra pas demain. On parle souvent de lui.
Pignole. Tromblon. Pignole. Tromblon.
Et dans un nombre impair de système vaseux, c'est pas priape par principes.

Le foie flanche, mais il le fera tranquillou.
Comme on berce un enfant,
de ces sales cons insensibles repus d'innocence.
Dentition fragile, crâne capricieux, joues tripotées et tordues, ongles irascibles,
Facture grossière, oesophage indolore, le genou n'en parlons pas.

La déontologie en politique et en finances, ça donne.
Et si j'en crois Clovis,
il s'en fout, heureux homme.

الأربعاء، 16 يناير 2008

...pustka...brakuje mi Ciebie...



...Tysiąc przeszkód, dla mnie to za mało
Nie chce świata, w którym nie ma otwartego nieba dla nas dwoje
Jeśli bedziesz tam, włamie sie bez pukania do bram (do bram)
Znajde cie na końcu świata
Moje serce mówi mi, gdy cie szukac mam...


...hmmm...co czuję...tak na prawdę nic...pustkę...100 razy dziennie uruchamiam AQQ...patrze na Twój numer...nie ma Cie...mimo, że wiem gdzie...co  i jak...to...brakuje mi Ciebie...
...ehhh...nie da się bez Ciebie Efciu...nie da się...ja nie wiem co mam począć...gdzie iść...co robić...kompletnie nic...odpoczywaj... uśmiechaj się...chce czuć to w serduszku...mmm...Kotek mój... :*** ...

...pustka...brakuje mi Ciebie...



...Tysiąc przeszkód, dla mnie to za mało
Nie chce świata, w którym nie ma otwartego nieba dla nas dwoje
Jeśli bedziesz tam, włamie sie bez pukania do bram (do bram)
Znajde cie na końcu świata
Moje serce mówi mi, gdy cie szukac mam...


...hmmm...co czuję...tak na prawdę nic...pustkę...100 razy dziennie uruchamiam AQQ...patrze na Twój numer...nie ma Cie...mimo, że wiem gdzie...co  i jak...to...brakuje mi Ciebie...
...ehhh...nie da się bez Ciebie Efciu...nie da się...ja nie wiem co mam począć...gdzie iść...co robić...kompletnie nic...odpoczywaj... uśmiechaj się...chce czuć to w serduszku...mmm...Kotek mój... :*** ...

Faut il redouter l'apocalypse nucléaire dans les yeux de Clovis?

Bien entendu, rien n'est perdu.

La route est longue et la citadelle non sans écho.
Dormir deux, quatre ou six fois à la belle étoile ne résoud rien.

Carrément nonchalant, c'est sans pardon.
- Clovis, sache que si tu perds la passion, tu gagnes une troisième couille.
lui conseille ardemment Mamy,
mais fier de son brave destrier un peu revêche.

Quand conscience pleurera le coridor masqué sans crainte,
insoluble,
tu seras fieffé.

Alors coeur de joie, palpule timide, c'est visiblement oui, mais non.

@ 0 commentaires : C'est trop, je t'en prie.

Faut il redouter l'apocalypse nucléaire dans les yeux de Clovis?

Bien entendu, rien n'est perdu.

La route est longue et la citadelle non sans écho.
Dormir deux, quatre ou six fois à la belle étoile ne résoud rien.

Carrément nonchalant, c'est sans pardon.
- Clovis, sache que si tu perds la passion, tu gagnes une troisième couille.
lui conseille ardemment Mamy,
mais fier de son brave destrier un peu revêche.

Quand conscience pleurera le coridor masqué sans crainte,
insoluble,
tu seras fieffé.

Alors coeur de joie, palpule timide, c'est visiblement oui, mais non.

@ 0 commentaires : C'est trop, je t'en prie.

الاثنين، 14 يناير 2008

Assumer sa part de misogynie.
Donner son cadavre.

Assumer sa part de féminité.
Zen à toute heure, les coups de pute, on oublie tout,
même si évidemment, il ne faut pas.

On a voulu retrouver l'exhibi-sioniste.
Et du faux rhum avec une vrai migraine,
pour faire chier Paul Allen, encore trop jouasse.
Fais moi mal, mais pas trop fort, c'est ça.
Vérification de la compilation réussie.

Ce n'est pas une âme pécheresse.
- Oui, mais c'est pas pour ça qu'il faut pas, non.
Tu ne comprends rien aux gens. Rien à rien.
Mettre tout comme il faut.
Et je t'emmerde en même temps que je m'emmerde.
et celui ou celle.

Les ultimes résidus ont fait du bon boulot.
Sûrement une prude. Avec un pouvoir politique innommable.

On s'en fout.

Assumer sa part de misogynie.
Donner son cadavre.

Assumer sa part de féminité.
Zen à toute heure, les coups de pute, on oublie tout,
même si évidemment, il ne faut pas.

On a voulu retrouver l'exhibi-sioniste.
Et du faux rhum avec une vrai migraine,
pour faire chier Paul Allen, encore trop jouasse.
Fais moi mal, mais pas trop fort, c'est ça.
Vérification de la compilation réussie.

Ce n'est pas une âme pécheresse.
- Oui, mais c'est pas pour ça qu'il faut pas, non.
Tu ne comprends rien aux gens. Rien à rien.
Mettre tout comme il faut.
Et je t'emmerde en même temps que je m'emmerde.
et celui ou celle.

Les ultimes résidus ont fait du bon boulot.
Sûrement une prude. Avec un pouvoir politique innommable.

On s'en fout.

...chicałbym...wierzyć...


...Jednak on cierpiał, nigdy nie chciał wyjeżdżać
A jednak Bóg tego chciał akurat nie rozdawał szczęścia
W końcu powiedział, musisz mnie zrozumieć
Wyjeżdżam jutro rano i nie wiem kiedy wrócę
Przed nimi jedna noc, ostatnich kilka godzin
Kiedy odchodzi ten ktoś czujesz że miłość zawodzi
A jednak robisz wszystko żeby być najdłużej przy nim
Odłożyć pożegnanie z nadzieją, że zostanie...

...piękny tekst...piosenka też piękna...ale najważniejszy jest sens...sens tego co jest w Naszych sercach...czy to nie jest po prostu sen...który kiedyś się skończy...czy po prostu za jakiś czas nie pójdziemy swoimi drogiami...nie wiem...boje się, że tak będzie...i nic już tej pustki nie wypełni...ehhh...smutno mi w takich chwilach...tak bardzo się boję, że strace Mój Największy Skarb...Ciebie...

...chciałbym wierzyć...chciałbym...

...chicałbym...wierzyć...


...Jednak on cierpiał, nigdy nie chciał wyjeżdżać
A jednak Bóg tego chciał akurat nie rozdawał szczęścia
W końcu powiedział, musisz mnie zrozumieć
Wyjeżdżam jutro rano i nie wiem kiedy wrócę
Przed nimi jedna noc, ostatnich kilka godzin
Kiedy odchodzi ten ktoś czujesz że miłość zawodzi
A jednak robisz wszystko żeby być najdłużej przy nim
Odłożyć pożegnanie z nadzieją, że zostanie...

...piękny tekst...piosenka też piękna...ale najważniejszy jest sens...sens tego co jest w Naszych sercach...czy to nie jest po prostu sen...który kiedyś się skończy...czy po prostu za jakiś czas nie pójdziemy swoimi drogiami...nie wiem...boje się, że tak będzie...i nic już tej pustki nie wypełni...ehhh...smutno mi w takich chwilach...tak bardzo się boję, że strace Mój Największy Skarb...Ciebie...

...chciałbym wierzyć...chciałbym...

Mamy rétorquera :
- Tiens, prends toi ça dans l'amour propre.

Elle a laissé les gants et les scrupules là où pionce le présent.

Sans poser de questions, tu dois jeter les essais infructueux.
Et quand tu manques déjà alors que tu es encore là.
Clovis est un zouave.
C'est dans sa gamelle d'une bouche d'envergure que l'on a fait
la musique d'ascenseur, oui, pour monter le long de sa nuque.

C'est soporifique. Jamais.

- Alors tu vides ton sac, t'oublies que t'es une tare.
Alors tu remplis ton sac, tu ne te casses pas.

T'es sensé être content sans couer.

Mamy rétorquera :
- Tiens, prends toi ça dans l'amour propre.

Elle a laissé les gants et les scrupules là où pionce le présent.

Sans poser de questions, tu dois jeter les essais infructueux.
Et quand tu manques déjà alors que tu es encore là.
Clovis est un zouave.
C'est dans sa gamelle d'une bouche d'envergure que l'on a fait
la musique d'ascenseur, oui, pour monter le long de sa nuque.

C'est soporifique. Jamais.

- Alors tu vides ton sac, t'oublies que t'es une tare.
Alors tu remplis ton sac, tu ne te casses pas.

T'es sensé être content sans couer.

الأحد، 13 يناير 2008

...myślę...




...coś dzisiaj pobawiłem się w myśliciela...ehhh i nie wiem już nic z tego wszystkiego...gubię się...znowu takie to wszystko jest bez sensu...odnalazłem go...a teraz na nowo się gubi...ehhh...mimo to sens jest w obrazku...cały sens...


...bo dla Ciebie warto cieszyć się każdym dniem...dla Ciebie i z Tobą...Efciu moja Ty kochana...kocham patrzeć na to zdjęcie Twoje...z tym skrzywieniem :P...kocham ten Twój smajl...dzięki niemu w nocy przytule się i zasnę...obok... :*** ...
...a Bobo kochane...i jesce ockaaaa... :) ...

...myślę...




...coś dzisiaj pobawiłem się w myśliciela...ehhh i nie wiem już nic z tego wszystkiego...gubię się...znowu takie to wszystko jest bez sensu...odnalazłem go...a teraz na nowo się gubi...ehhh...mimo to sens jest w obrazku...cały sens...


...bo dla Ciebie warto cieszyć się każdym dniem...dla Ciebie i z Tobą...Efciu moja Ty kochana...kocham patrzeć na to zdjęcie Twoje...z tym skrzywieniem :P...kocham ten Twój smajl...dzięki niemu w nocy przytule się i zasnę...obok... :*** ...
...a Bobo kochane...i jesce ockaaaa... :) ...

السبت، 12 يناير 2008

Clovis, mais Clovis, mais t'as que ça à la gueule!

- Oui et peut-être, aurait répondu, hagard, l'acculé, laissant Fils et le doute planer.

Clovis reugh et consomme en toute occasion s'il ne veut pas chanter la bouche pleine.
C'est Rock'n'Roll!
Uniquement si c'est la fin absolue de toutes ces faquineries grotesques.

Le chanteur carmélite, il a vendu son pain banal,
il l'a laissé s'envoler vers la cime du groseiller.
C'est sans lui, parce que singe-batteur flâne sans pitié pour le paradis.
Si Clovis, c'est cinq.

- Deux fois deux, font font font les employés de la Palourde, alias RastaPopoPoulpos.
Quand un cargo de bananes sonne à la porte de la petite maison,
les esprits s'engourdissent et s'empâtent pour affaiblir momentanément le réveil,
qui crie sans attendre, et environ cinq minutes terriennes.
Mais avec passion.
Et Michel, c'est six.

Choses comme le paradis, choses comme l'impétueuse verve du jambonphage.
Très mystique, et ultra, parce qu'il y en a qui ricannent, derrière.
Transe hypnotique diluée au Corbières, merci bien, on a connu Beber.
Et c'est un putain d'gazier.
Alors Mamy, c'est sept.

Mange autant que tu veux, c'est foison,
tel que Papy, serein, peut pas appâter ton popo par spéculation.

Clovis, mais Clovis, mais t'as que ça à la gueule!

- Oui et peut-être, aurait répondu, hagard, l'acculé, laissant Fils et le doute planer.

Clovis reugh et consomme en toute occasion s'il ne veut pas chanter la bouche pleine.
C'est Rock'n'Roll!
Uniquement si c'est la fin absolue de toutes ces faquineries grotesques.

Le chanteur carmélite, il a vendu son pain banal,
il l'a laissé s'envoler vers la cime du groseiller.
C'est sans lui, parce que singe-batteur flâne sans pitié pour le paradis.
Si Clovis, c'est cinq.

- Deux fois deux, font font font les employés de la Palourde, alias RastaPopoPoulpos.
Quand un cargo de bananes sonne à la porte de la petite maison,
les esprits s'engourdissent et s'empâtent pour affaiblir momentanément le réveil,
qui crie sans attendre, et environ cinq minutes terriennes.
Mais avec passion.
Et Michel, c'est six.

Choses comme le paradis, choses comme l'impétueuse verve du jambonphage.
Très mystique, et ultra, parce qu'il y en a qui ricannent, derrière.
Transe hypnotique diluée au Corbières, merci bien, on a connu Beber.
Et c'est un putain d'gazier.
Alors Mamy, c'est sept.

Mange autant que tu veux, c'est foison,
tel que Papy, serein, peut pas appâter ton popo par spéculation.

Mais je ne t'en tiendrai pas rigueur.

"Les philosophes conçoivent les affections qui se livrent bataille en nous comme des vices dans lesquels les hommes tombent par leur faute.
C'est pourquoi ils ont accoutumé de les tourner en dérision, de les déplorer, de les réprimander, ou, quand ils veulent paraître plus moraux, de les détester." Baruch Spinoza.

"Parce que je hais toutes ces putes." Jean-Louis Costes

Clovis demande c'est qui qu'a raison des bibliobus malsains qui haranguent les rues.

Ce matin là, Clovis posa si en coinçant sa verge entre ses deux ventricules, et en saturant son bassin de mouvements tantriques,
il puiserait la jouissance que Fils avait ressenti en jugement sous la brebis demi-cochinée de Monsieur le Vase de Noce, ce qui lui avait d'ailleurs été lourdement réprimandé.

Ce matin là, deux soleils, mais toujours quatre membres pour Clovis et cette haleine de jarsouin ventriloque et fallacieux qui le suit partout où il se démange, tendrement.
- "C'est joie", se dit Clotar, non ne parle le kobaïen tel 3615Mamy.

- Affreusement insipide ce paté (de tête)!
C'est nettement meilleur d'une ou deux cuillères de vinaigre balsamique et une noisette d'huile d'olive! hurla-t'il en carressant la vierge flasque et mal entretenue.
- La verité sort de la bouche des ultraviolets, Patrick. C'est un hyperamphi.

Il pleure puis se mit a pleurer mais au fond tout ce qu'il voulait c'était...
Connaitre et aimer le goût du corps spongieux et mysterieux de la mère maquerelle déférente?

Mais je ne t'en tiendrai pas rigueur.

"Les philosophes conçoivent les affections qui se livrent bataille en nous comme des vices dans lesquels les hommes tombent par leur faute.
C'est pourquoi ils ont accoutumé de les tourner en dérision, de les déplorer, de les réprimander, ou, quand ils veulent paraître plus moraux, de les détester." Baruch Spinoza.

"Parce que je hais toutes ces putes." Jean-Louis Costes

Clovis demande c'est qui qu'a raison des bibliobus malsains qui haranguent les rues.

Ce matin là, Clovis posa si en coinçant sa verge entre ses deux ventricules, et en saturant son bassin de mouvements tantriques,
il puiserait la jouissance que Fils avait ressenti en jugement sous la brebis demi-cochinée de Monsieur le Vase de Noce, ce qui lui avait d'ailleurs été lourdement réprimandé.

Ce matin là, deux soleils, mais toujours quatre membres pour Clovis et cette haleine de jarsouin ventriloque et fallacieux qui le suit partout où il se démange, tendrement.
- "C'est joie", se dit Clotar, non ne parle le kobaïen tel 3615Mamy.

- Affreusement insipide ce paté (de tête)!
C'est nettement meilleur d'une ou deux cuillères de vinaigre balsamique et une noisette d'huile d'olive! hurla-t'il en carressant la vierge flasque et mal entretenue.
- La verité sort de la bouche des ultraviolets, Patrick. C'est un hyperamphi.

Il pleure puis se mit a pleurer mais au fond tout ce qu'il voulait c'était...
Connaitre et aimer le goût du corps spongieux et mysterieux de la mère maquerelle déférente?

الجمعة، 11 يناير 2008

Je ne mangerai pas ton bras, Jésus!

On peut dire que Fils est à l'avant-garde de la vitesse
ce qu'Emile Louis est à l'indigo.

Jeannie, jeannie, jeannie, jeannie, jeannie, jeannie.
Comme ça c'est fait, on y touche plus.

- José, je l'ai foutu, réglo. quémande le vieux.

José dans la merde sous l'orage,
et il a rendu plus d'un chanteur de carne.
Transhumain, krazpec, avorton, c'est les groseilles vaseux du lendemain.

- Et partons tous à l'aventure! s'applique la vieille.
Seulement deux, qu'elle dit, le mec tout à fait normal.
Lim en + l'infini de : reproduire la sensibilité d'un tire-bouchon =

Un insecte de joie - surement une vipère - rentre dans sa bouche.
Croustillant pour personne. Sa personne.

Ah non, c'était un inceste en fait.

Deux fois le pléonasme de la Jeannie incestueuse.

La cinquantaine passée, Jeannie n'avait plus en lui que sa mémoire défaillante
pour s'évoquer lui-même sa lointaine jeunesse,
se rappeler tout seul des crêpes au glaires d'une Mamy jamais possédée.
Soit pour mieux oublier, et un gros problème de comportement.

SI UN GONOCOQUE S'AVISE DE FAIRE UN PAS VERS FILS, MON FILS!
Tu seras pelure d'oignon, ose diantrer la psychobilouille géante,
vraiment insipide et goûtue, charmante conne,
qui aboutit a un véritable chaolocauste cognitif.

La danse de la mort est impalpable,
et Kiki aussi, Frida aussi, Fifou aussi,
mais pas un tube de colle,
et ainsi naquit l'espérance de vie.

Aujourd'hui, Clovis a partagé de tendres caresses avec le Juge.
Quoi de plus normal.

Je ne mangerai pas ton bras, Jésus!

On peut dire que Fils est à l'avant-garde de la vitesse
ce qu'Emile Louis est à l'indigo.

Jeannie, jeannie, jeannie, jeannie, jeannie, jeannie.
Comme ça c'est fait, on y touche plus.

- José, je l'ai foutu, réglo. quémande le vieux.

José dans la merde sous l'orage,
et il a rendu plus d'un chanteur de carne.
Transhumain, krazpec, avorton, c'est les groseilles vaseux du lendemain.

- Et partons tous à l'aventure! s'applique la vieille.
Seulement deux, qu'elle dit, le mec tout à fait normal.
Lim en + l'infini de : reproduire la sensibilité d'un tire-bouchon =

Un insecte de joie - surement une vipère - rentre dans sa bouche.
Croustillant pour personne. Sa personne.

Ah non, c'était un inceste en fait.

Deux fois le pléonasme de la Jeannie incestueuse.

La cinquantaine passée, Jeannie n'avait plus en lui que sa mémoire défaillante
pour s'évoquer lui-même sa lointaine jeunesse,
se rappeler tout seul des crêpes au glaires d'une Mamy jamais possédée.
Soit pour mieux oublier, et un gros problème de comportement.

SI UN GONOCOQUE S'AVISE DE FAIRE UN PAS VERS FILS, MON FILS!
Tu seras pelure d'oignon, ose diantrer la psychobilouille géante,
vraiment insipide et goûtue, charmante conne,
qui aboutit a un véritable chaolocauste cognitif.

La danse de la mort est impalpable,
et Kiki aussi, Frida aussi, Fifou aussi,
mais pas un tube de colle,
et ainsi naquit l'espérance de vie.

Aujourd'hui, Clovis a partagé de tendres caresses avec le Juge.
Quoi de plus normal.

الخميس، 10 يناير 2008

...nie umiem...


Wspomnij w tęsknocie, o sercu Ci bliskim.
Wspomnij o kimś takim, dla kogo jesteś wszystkim.


...no a sens...sens masz w obrazku... :) ... i dzisiaj na tym zakończę...po prostu...nic dodac nic ująć...Ty sama wiesz jak dzisiaj było...było ciężko...wydaje się, że to pare chwil...a mi byłó tak teskno że zmysły bym postradał :P...a to znaczy coś...znaczy wiele...nie umiem już żyć bez Ciebie... :*** ...i tak jak śpiewa Timbaland & One Republic...
...it`s too late... :P ...na to aby żyć osobno... :*** ...

...nie umiem...


Wspomnij w tęsknocie, o sercu Ci bliskim.
Wspomnij o kimś takim, dla kogo jesteś wszystkim.


...no a sens...sens masz w obrazku... :) ... i dzisiaj na tym zakończę...po prostu...nic dodac nic ująć...Ty sama wiesz jak dzisiaj było...było ciężko...wydaje się, że to pare chwil...a mi byłó tak teskno że zmysły bym postradał :P...a to znaczy coś...znaczy wiele...nie umiem już żyć bez Ciebie... :*** ...i tak jak śpiewa Timbaland & One Republic...
...it`s too late... :P ...na to aby żyć osobno... :*** ...

الأربعاء، 9 يناير 2008

...powoli...ale Razem...


...Widzę Ciebie w dzień i w nocy,
W każdej myśli jesteś Ty,
Lubię patrzeć w Twoje oczy,
Kiedy mówisz: ja i Ty!
Czasem myślę: Czy to warto?
Czy naprawdę kochasz mnie?
Czy nam kiedyś będzie dobrze,
Czy nam kiedyś będzie źle?...
...i wiesz co...myślę, że się uda...a to tak od siebie...ehhh...tyle tego wszystkiego na mej głowie...za dużooo...mimo to...wierzę...że uda się...wszystko się uda...ale krok po kroczku stąpajmy...a nie od razu hop...krok po kroczku...ale Razem... :*** ...

...powoli...ale Razem...


...Widzę Ciebie w dzień i w nocy,
W każdej myśli jesteś Ty,
Lubię patrzeć w Twoje oczy,
Kiedy mówisz: ja i Ty!
Czasem myślę: Czy to warto?
Czy naprawdę kochasz mnie?
Czy nam kiedyś będzie dobrze,
Czy nam kiedyś będzie źle?...
...i wiesz co...myślę, że się uda...a to tak od siebie...ehhh...tyle tego wszystkiego na mej głowie...za dużooo...mimo to...wierzę...że uda się...wszystko się uda...ale krok po kroczku stąpajmy...a nie od razu hop...krok po kroczku...ale Razem... :*** ...

Il y a deux sortes d'hommes que Clovis sait renier.

D'une part, glandeurs endoctrinés, bouche-à-pipe,
- T'es content tintin? l'aurait-on entendu siffler aux artistes.
C'est l'appât de l'Excellence qui fluctue et pourrit.
Malgré les dents serrées d'aucun tromblon.
- Frotte ta cabèche, c'est le b-a-ba, beau osseux.

Débauche de sens ensuite, mignonnette de faquin mais pas trop.
Pince de toute tâche qui, sans façon, m'a offert fissures excentriques.
Et d'autres blennogermes symboliques, pépère.
Ils sont fragiles et graciles, et nous devons en prendre soin.
Clovis aurait dit fraciles, étant donné que gragiles sonne peu.

On en revient au point de départ, le rythme.

Claude, tu m'intrigues.
Endormi sans raison depuis plus d'un siècle. Tranche de vie.
Tu as vécu six enfances, sans calcul.
Balivernes.
C'est un jeu donc c'est volumineux, en tant que taille.

Un carrelage aurait bien pu avoir raison de toi.
Klébar à putes sait malgré tout se soudoyer aux magistrats païens,
mais uniquement lorsque l'envie ou l'occasion s'en font sentir.

Demain. Juge.

Truculent, ce plaisir excessif! Proie de Clovis, va.
Ni l'un, ni l'autre ne peuvent savoir que dans une lettre,
il y a structure,
il y a graisse,
il y a corps,
il y a châsse.

Mais tu ne cherches pas à comprendre.

Il y a deux sortes d'hommes que Clovis sait renier.

D'une part, glandeurs endoctrinés, bouche-à-pipe,
- T'es content tintin? l'aurait-on entendu siffler aux artistes.
C'est l'appât de l'Excellence qui fluctue et pourrit.
Malgré les dents serrées d'aucun tromblon.
- Frotte ta cabèche, c'est le b-a-ba, beau osseux.

Débauche de sens ensuite, mignonnette de faquin mais pas trop.
Pince de toute tâche qui, sans façon, m'a offert fissures excentriques.
Et d'autres blennogermes symboliques, pépère.
Ils sont fragiles et graciles, et nous devons en prendre soin.
Clovis aurait dit fraciles, étant donné que gragiles sonne peu.

On en revient au point de départ, le rythme.

Claude, tu m'intrigues.
Endormi sans raison depuis plus d'un siècle. Tranche de vie.
Tu as vécu six enfances, sans calcul.
Balivernes.
C'est un jeu donc c'est volumineux, en tant que taille.

Un carrelage aurait bien pu avoir raison de toi.
Klébar à putes sait malgré tout se soudoyer aux magistrats païens,
mais uniquement lorsque l'envie ou l'occasion s'en font sentir.

Demain. Juge.

Truculent, ce plaisir excessif! Proie de Clovis, va.
Ni l'un, ni l'autre ne peuvent savoir que dans une lettre,
il y a structure,
il y a graisse,
il y a corps,
il y a châsse.

Mais tu ne cherches pas à comprendre.

Heureux comme un pape, dans son antre, cloîtré.
C'est Michel.

Il hait. Non. Tout.
Il aime. Non. Tout.

Deux fois, déjà, il s'est rendu compte qu'une vie pouvait consister à :
se frotter lascivement les burnes le long de la jambe d'un ou d'une cliente,
compter les billets,
apprécier gentiment,
en sirotant un cocktail interlope,
au délicieux goût de vérole.

Cherche les symboles, depuis toujours.
Un compas, trois six, des triangles, en veux tu?
Il en voit ici, là. Te dominant, mais très sensé.

Dominus jette un oeil - on sait ce qu'il pense - ne dit rien.
- Fils, tu croules sous ta propre conscience.
- ...
- Pousse des cris de joie, fille de Sion! Le Seigneur est en toi!
- Illicite! Dominant! Maître! Essencé!

Trouble, qui sait, presque torve, l'enfant roi au sang glauque.

"J'en ai vu qui, saisis par la démence, mangeaient leurs propres excréments, des femmes qui faisaient cuire leur nouveau-né.
Ils étaient là, gisant entre des monceaux de corps à demi putréfiés, apathiques, attendant la mort.
C'est moi qui l'ai fait."

Heureux comme un pape, dans son antre, cloîtré.
C'est Michel.

Il hait. Non. Tout.
Il aime. Non. Tout.

Deux fois, déjà, il s'est rendu compte qu'une vie pouvait consister à :
se frotter lascivement les burnes le long de la jambe d'un ou d'une cliente,
compter les billets,
apprécier gentiment,
en sirotant un cocktail interlope,
au délicieux goût de vérole.

Cherche les symboles, depuis toujours.
Un compas, trois six, des triangles, en veux tu?
Il en voit ici, là. Te dominant, mais très sensé.

Dominus jette un oeil - on sait ce qu'il pense - ne dit rien.
- Fils, tu croules sous ta propre conscience.
- ...
- Pousse des cris de joie, fille de Sion! Le Seigneur est en toi!
- Illicite! Dominant! Maître! Essencé!

Trouble, qui sait, presque torve, l'enfant roi au sang glauque.

"J'en ai vu qui, saisis par la démence, mangeaient leurs propres excréments, des femmes qui faisaient cuire leur nouveau-né.
Ils étaient là, gisant entre des monceaux de corps à demi putréfiés, apathiques, attendant la mort.
C'est moi qui l'ai fait."

الثلاثاء، 8 يناير 2008

- Et ton ciseau à bois, je le bouffe.

Parlons peu et vain.

C'est ainsi qu'il part en guerre.
3 litres de Giral, il embraye la 5ème,
ce sont 44 tonnes de rabla, popo, vitesse, bonheurs hachés qui volent vers Quimper.

Transe à gogo, le lisier cérébral ne prendra pas fin
avant - DEUX SEMAINES. DEUX SEMAINES! J'insiste. - son trépas.

Peut-être.

Bien bien, ça donne... Et ça reprend.
Là, Clovis l'attend, les yeux chargées. Emotions.
Le duvet américain dort sous la couette, pinard errant.

- J'ai une envie de Champlure! Un bon Madras fera l'affaire.
Un Invité surprise sous la robe de Fils réjouira finalement nos compagnons.

Soirée drue, concept ancien, tournée des grands ducs,
Fils est patraque, il crie.
- HA! Le Colisée, j'y étais! avouera plus tard le bougre.
J'étais un octo solide, pas un vieillard, mais la routine me lasse.

Il aurait pu laisser derrière lui 2 croisés malinois un peu bourrus et n'a rien frôlé.

Encore heureux, ils le sont.

- Et ton ciseau à bois, je le bouffe.

Parlons peu et vain.

C'est ainsi qu'il part en guerre.
3 litres de Giral, il embraye la 5ème,
ce sont 44 tonnes de rabla, popo, vitesse, bonheurs hachés qui volent vers Quimper.

Transe à gogo, le lisier cérébral ne prendra pas fin
avant - DEUX SEMAINES. DEUX SEMAINES! J'insiste. - son trépas.

Peut-être.

Bien bien, ça donne... Et ça reprend.
Là, Clovis l'attend, les yeux chargées. Emotions.
Le duvet américain dort sous la couette, pinard errant.

- J'ai une envie de Champlure! Un bon Madras fera l'affaire.
Un Invité surprise sous la robe de Fils réjouira finalement nos compagnons.

Soirée drue, concept ancien, tournée des grands ducs,
Fils est patraque, il crie.
- HA! Le Colisée, j'y étais! avouera plus tard le bougre.
J'étais un octo solide, pas un vieillard, mais la routine me lasse.

Il aurait pu laisser derrière lui 2 croisés malinois un peu bourrus et n'a rien frôlé.

Encore heureux, ils le sont.

Il est là, seul, Albertstram ne lui répondra pas car Marcus est de par le monde.
Que c'est triste pour Fifou de finir dans la paella.
Mamy a dit : - Oui, mais.
C'est entier, entièrement de Clovis, ils étaient tous là. Sauf mes couilles.

Lors du 18ème Pussy Time, il cria :
- SAAAAAALOPE! mouai.
Alors là, non, c'est trop et il l'a fait savoir.
La première fois, c'était le robot qui voyait la scène, et hurlait; Désinvolte.
- PUUUUUUUTE!

Les chiens se grattent et servent de sage au jardin, du miel doux sucré?
Tandis, la boite à succès a eu raison de Clovis. Peut-être la trouille, sûrement la crouille, qui sait.
Si le gendarme de la joie pleure le jagon dakiné du faquin qui turlupine, insoluble.
JAMAIS, je dis bien, TOUT EST LES SANGLIERS, mais il le sait, par l'Ouest.
Crametard de senteurs exarcerbés volubiles insipides alors de Mr Gastby. Splendide!
Le point vient vendre la phrase et les diamants de la CAF.
Si jamais un solier supérieur vient couer avec tous les buddhas du monde, je dirai non.

Libéré, je suis. Libéré, je suis. Libéré. De la perversion.
Oui, car plusieurs. Quant à toi, fief...
- Si je ne te revois pas avant Pâââââques, tient Mamy;
- OUuuuuUuuUuuuuUuUurzum. La chèvre? dominus dixit.
Et qui d'autre ? Peut être coprophages et nécrosadiques?
C'est le temps des Dames, la Dame est servie sur un plateau.
Et que je ne vois s'insurger. Ce n'est que beauté.
Rouge, c'est la couleur de Clovis, à force - il a donné - d'omniprésence.
Un enfant jouasse. Déchainé, 1000 fleurs ont déja été senties.
- Donne moi une raison de ne connaitre l'instigateur de tout ça.
- Je répondrai simplement.

C'est le temps de mouver, couer et muir.

Il en apprend peu, mais il apprend bien.
Je ne finirai pas.

C'est à

Il est là, seul, Albertstram ne lui répondra pas car Marcus est de par le monde.
Que c'est triste pour Fifou de finir dans la paella.
Mamy a dit : - Oui, mais.
C'est entier, entièrement de Clovis, ils étaient tous là. Sauf mes couilles.

Lors du 18ème Pussy Time, il cria :
- SAAAAAALOPE! mouai.
Alors là, non, c'est trop et il l'a fait savoir.
La première fois, c'était le robot qui voyait la scène, et hurlait; Désinvolte.
- PUUUUUUUTE!

Les chiens se grattent et servent de sage au jardin, du miel doux sucré?
Tandis, la boite à succès a eu raison de Clovis. Peut-être la trouille, sûrement la crouille, qui sait.
Si le gendarme de la joie pleure le jagon dakiné du faquin qui turlupine, insoluble.
JAMAIS, je dis bien, TOUT EST LES SANGLIERS, mais il le sait, par l'Ouest.
Crametard de senteurs exarcerbés volubiles insipides alors de Mr Gastby. Splendide!
Le point vient vendre la phrase et les diamants de la CAF.
Si jamais un solier supérieur vient couer avec tous les buddhas du monde, je dirai non.

Libéré, je suis. Libéré, je suis. Libéré. De la perversion.
Oui, car plusieurs. Quant à toi, fief...
- Si je ne te revois pas avant Pâââââques, tient Mamy;
- OUuuuuUuuUuuuuUuUurzum. La chèvre? dominus dixit.
Et qui d'autre ? Peut être coprophages et nécrosadiques?
C'est le temps des Dames, la Dame est servie sur un plateau.
Et que je ne vois s'insurger. Ce n'est que beauté.
Rouge, c'est la couleur de Clovis, à force - il a donné - d'omniprésence.
Un enfant jouasse. Déchainé, 1000 fleurs ont déja été senties.
- Donne moi une raison de ne connaitre l'instigateur de tout ça.
- Je répondrai simplement.

C'est le temps de mouver, couer et muir.

Il en apprend peu, mais il apprend bien.
Je ne finirai pas.

C'est à

الاثنين، 7 يناير 2008

Clovis, petite palourde, foutriquet insoumis, pleure de joie la colombe.

Pas l'ombre d'un solstice d'été ne vient troubler l'eau dans laquelle il se noie.
Ses larmes, festives fistules, s'y confondent.
Dormant là, avec ses petits ongles noirs nacrés, sûrement jouissifs, qui galopent, par troupeaux de 4 ou 5, sur l'herbe douce et fumante.
Il a déja mangé, sans oignons pour mamy, mais la carotte terreuse.
Oui, ça le résume plutôt bien, c'est un fieffé.

Dors à la belle étoile, sous l'arbre incandescent, dors et bande lorsque orphée te caresse,
sur ce sol mielleux, ou peut-être incertain, ou glauque, mais pourpre quoi qu'il en soit, ça ne peut que le rassurer.

Fissure géante! Fistule de joie! C'est fait.

Par les temps qui courent, on oublirait presque l'imposante beauté d'une énorme cramouille polymorphe, pureté esthétique inavouable.

Clovis, petite palourde, foutriquet insoumis, pleure de joie la colombe.

Pas l'ombre d'un solstice d'été ne vient troubler l'eau dans laquelle il se noie.
Ses larmes, festives fistules, s'y confondent.
Dormant là, avec ses petits ongles noirs nacrés, sûrement jouissifs, qui galopent, par troupeaux de 4 ou 5, sur l'herbe douce et fumante.
Il a déja mangé, sans oignons pour mamy, mais la carotte terreuse.
Oui, ça le résume plutôt bien, c'est un fieffé.

Dors à la belle étoile, sous l'arbre incandescent, dors et bande lorsque orphée te caresse,
sur ce sol mielleux, ou peut-être incertain, ou glauque, mais pourpre quoi qu'il en soit, ça ne peut que le rassurer.

Fissure géante! Fistule de joie! C'est fait.

Par les temps qui courent, on oublirait presque l'imposante beauté d'une énorme cramouille polymorphe, pureté esthétique inavouable.

الأحد، 6 يناير 2008

...tak bardzo...bardzo...


...W każdej chwili,
w każdym geście
i słowie mym
Czuję cząstkę Ciebie
I chodź by nawet świat
odmienił nam rolę w nim
Nie zapomnę Ciebie już...

...boje się...że bez Ciebie nie będe umiał normalnie fukncjonować...że ten nowy świat...zmieni mnie...boje się...i teraz już nie wiem czy chce tego zakosztować...raczej nie...pieniądze to nie wszystko...na start w dorosłe życie zarobić mogę i tutaj...przy Tobie...czy to źle...że chcę czuć Cię blisko...każdego dnia ?...czy to źle ?... :( ...

...tak bardzo...bardzo...
...Cie kocham... :*** ...

...tak bardzo...bardzo...


...W każdej chwili,
w każdym geście
i słowie mym
Czuję cząstkę Ciebie
I chodź by nawet świat
odmienił nam rolę w nim
Nie zapomnę Ciebie już...

...boje się...że bez Ciebie nie będe umiał normalnie fukncjonować...że ten nowy świat...zmieni mnie...boje się...i teraz już nie wiem czy chce tego zakosztować...raczej nie...pieniądze to nie wszystko...na start w dorosłe życie zarobić mogę i tutaj...przy Tobie...czy to źle...że chcę czuć Cię blisko...każdego dnia ?...czy to źle ?... :( ...

...tak bardzo...bardzo...
...Cie kocham... :*** ...

...tak bardzo...bardzo...


...W każdej chwili,
w każdym geście
i słowie mym
Czuję cząstkę Ciebie
I chodź by nawet świat
odmienił nam rolę w nim
Nie zapomnę Ciebie już...

...boje się...że bez Ciebie nie będe umiał normalnie fukncjonować...że ten nowy świat...zmieni mnie...boje się...i teraz już nie wiem czy chce tego zakosztować...raczej nie...pieniądze to nie wszystko...na start w dorosłe życie zarobić mogę i tutaj...przy Tobie...czy to źle...że chcę czuć Cię blisko...każdego dnia ?...czy to źle ?... :( ...

...tak bardzo...bardzo...
...Cie kocham... :*** ...

...tak bardzo...bardzo...


...W każdej chwili,
w każdym geście
i słowie mym
Czuję cząstkę Ciebie
I chodź by nawet świat
odmienił nam rolę w nim
Nie zapomnę Ciebie już...

...boje się...że bez Ciebie nie będe umiał normalnie fukncjonować...że ten nowy świat...zmieni mnie...boje się...i teraz już nie wiem czy chce tego zakosztować...raczej nie...pieniądze to nie wszystko...na start w dorosłe życie zarobić mogę i tutaj...przy Tobie...czy to źle...że chcę czuć Cię blisko...każdego dnia ?...czy to źle ?... :( ...

...tak bardzo...bardzo...
...Cie kocham... :*** ...

الخميس، 3 يناير 2008

...mrrr...śnij...


Powoli spacer nasz się kończy,
nad miastem cicho noc się toczy.
Zza siódmej góry wyszedł księżyc,
by słońce mogło zmrużyć oczy.
Zniknęły z ulic samochody,
latarnie jasnym światłem świecą.


Ptaki umilkły: może śpią już,
może się zamyśliły nieco?
Wiaterek także przysnął sobie,
cicho po dachach kot się skrada
i tylko zegar swoim tik-tak
do snu nam bajki opowiada.

...mrrr...teraz śpij... :** ...

...mrrr...śnij...


Powoli spacer nasz się kończy,
nad miastem cicho noc się toczy.
Zza siódmej góry wyszedł księżyc,
by słońce mogło zmrużyć oczy.
Zniknęły z ulic samochody,
latarnie jasnym światłem świecą.


Ptaki umilkły: może śpią już,
może się zamyśliły nieco?
Wiaterek także przysnął sobie,
cicho po dachach kot się skrada
i tylko zegar swoim tik-tak
do snu nam bajki opowiada.

...mrrr...teraz śpij... :** ...

الأربعاء، 2 يناير 2008

...co dalej...tego nie wie nikt...

...Chłodno tak
Może widzę Ciebie już ostatni raz
Chodźmy stąd
Nie chcę wiedzieć, że
Jutro Cię zabraknie...

...no i tego się boję...że jutro...no może nie jutro ale za dni parę...Cie zabraknie...tak po prostu...wyjadę...nie będzie mnie...ani Ciebie...nie będzie Nas...zostanie to co w sercu...przecież to jednak wielka moc...czy aż tak wielka...nie wiem...myślę...zastanawiam się...zagubiony...

...ehhh...nie wiem po prostu...weny brak...szlaban wszystko trafi...kolejny raz...

...co dalej...tego nie wie nikt...

...Chłodno tak
Może widzę Ciebie już ostatni raz
Chodźmy stąd
Nie chcę wiedzieć, że
Jutro Cię zabraknie...

...no i tego się boję...że jutro...no może nie jutro ale za dni parę...Cie zabraknie...tak po prostu...wyjadę...nie będzie mnie...ani Ciebie...nie będzie Nas...zostanie to co w sercu...przecież to jednak wielka moc...czy aż tak wielka...nie wiem...myślę...zastanawiam się...zagubiony...

...ehhh...nie wiem po prostu...weny brak...szlaban wszystko trafi...kolejny raz...

الثلاثاء، 1 يناير 2008

...nicość...


W tę przeklętą noc
Czekam na nadziei głos
Wiem, że przyjdzie taki czas
Gdy zawołasz mnie
I znów będę już tylko tam,
Tam gdzie ty...

...ehhh...już nie chodzi o ten mecz...myśle od 3 dni...nad tym co dalej...niby wszystko adniemam tutaj ustawione...dobra praca...fajne pieniądze...a ja znowu szukam zmian...wyjazd...też fajna sprawa...ale miało być inaczej...a sam...hmmm...nie wiem czy to dobre wyjście...

...nie wiem już nic...niby to proste jest wszystko...a jednak nie...zagubiony się czuje strasznie...do dupy to wszystko jest...no ale świata i ludzi nie zmienie...nawet nie chce...bo niektórych to ciężko człowiekiem nazwać...

...a jutro nowy dzień...a myśli te same...

...nicość...


W tę przeklętą noc
Czekam na nadziei głos
Wiem, że przyjdzie taki czas
Gdy zawołasz mnie
I znów będę już tylko tam,
Tam gdzie ty...

...ehhh...już nie chodzi o ten mecz...myśle od 3 dni...nad tym co dalej...niby wszystko adniemam tutaj ustawione...dobra praca...fajne pieniądze...a ja znowu szukam zmian...wyjazd...też fajna sprawa...ale miało być inaczej...a sam...hmmm...nie wiem czy to dobre wyjście...

...nie wiem już nic...niby to proste jest wszystko...a jednak nie...zagubiony się czuje strasznie...do dupy to wszystko jest...no ale świata i ludzi nie zmienie...nawet nie chce...bo niektórych to ciężko człowiekiem nazwać...

...a jutro nowy dzień...a myśli te same...

Internet es así (parte II)

Bienvenidos al post Nº48. Ya queda menos para el medio centenar. Pensaba poner las búsquedas de noviembre y diciembre (que me he atrasado), o las de todo el año para celebrar este 2008, pero mejor seguimos hablando de Google en otros términos. Más noticias, señores y señoras.

Hay un servicio llamado Google Maps (o incluso Google Earth), que la gente usa para buscar su calle y hacer zoom una y otra vez, y luego cambiarlo a plano y luego a mapa, y luego van mirando el trayecto que hacen hacia X, y luego la casa de su amigo X, y luego... Y así se pueden tirar 3 horas, hasta que se encuentran con un accidente. Pues sí, porque Google va actualizando las imágenes de sus mapas, y tampoco se van a poner a mirar cada zona metro a metro, así que a veces se les cuelan fotos de niños atropellados por camiones, o gente desnuda en el suelo formando un FUCK YOU, o incluso yo saliendo del almacén donde tengo a todas esas putitas rumanas esclavizadas para que paguen el dinero que me deben por haberlas traído a España.... o eso o la muerte de sus seres más queridos. Ellas sabrán. Seguimos navegando para encontrarnos una base naval de San Diego con forma de esvástica. Por lo visto los militares ya están sacando billetes de las carteras para camuflar estos edificios. La primera idea que han tenido es convertirla en un pene gigantesco, pero no sé yo... Por otra parte no sé por qué hay símbolos que se han asociado tanto a alguna idea que ya no se pueden sacar de ahí: esvástica --> Hitler; cruz --> Jesucristo; calavera --> Mercedes Milás; etc. Me voy a tener que hacer mi propio símbolo...

Mira que a mí no me extrañan estas cosas. Seguro que los que trabajan en Google se pasan todo el día drogados jugando al strip poker. Deben ser tan felices como los que trabajan en Correos o en el Mercadona. De hecho no es tan extraño que haya fallos así en sus servicios si tenemos en cuenta que se les escapan serpientes por las oficinas. Claro, tú estás ahí muy contento (borracho y puesto de MDMA hasta las cejas) porque estás a punto de ganar pasta y tu jefe está en calzoncillos y corbata y tu compañera de trabajo sólo tiene un sujetador ya, cuando de repente alguien recibe un correo tal que así:

Estimados Googlers: El momento de este email no puede ser más inoportuno. Durante el fin de semana, una serpiente pitón perteneciente a un Googler se escapó de su jaula en un cubículo del cuarto piso. La serpiente es una pitón real que mide 90 centímetros, es marrón y gris, y se llama Kaiser. Si véis la serpiente, por favor no intentéis tocarla o recogerla. Llamad a seguridad inmediatamente.

Ja! Adiós a la timba de strip poker. La gente por ahí escondiéndose con sus copas en el cuarto de baño. "EEEEEEHHH....... que soy..... que soy la SERPIENTE!!!!!" dice algún empleado borracho, y todos a partirse de risa. "Oye, que Google está mandando a todo el mundo que busca cualquier cosa al club de fans de El canto del loco!", y todo el mundo ya por los suelos quedándose sin pulmones. Si es que Internet es así, y Google también es así. Luego se extrañan de que un tipo los demande por 5.000.000.000$, casi na'. Dylan Jayne asegura que Google puesto al revés el su número de la seguridad social codificado!!! Demanda mucha mucha pasta porque dice que esto vulnera...... vulnera muchas cosas, vamos. La gracia es que si no hubiera dicho nada, nadie sabría que ese es su número de la seguridad social. La otra gracia es que su número es 166-70-6077, y si alguien me explica qué parecido tiene eso con la palabra Google pues me buscaré la vida para demandarles yo también. Lo dicho: Internet es así.

No todo va a ser Google, por supuesto. Hay mucha gente que usa Internet para más cosas que no sean bajarse porno, como por ejemplo para ganar dinero. Ahí tenemos a Ebay, que se merece un post (o dos o tres) de noticias curiosas, pero hoy sólo vamos a resaltar una: un viaje en el tiempo. Bueno, más bien lo que vende es el cómo se pueden conseguir los viajes en el tiempo, pero lo mismo me da. Qué tienes ganas de ver cómo era la Edad Media? Pues ya estás pagando los 10.000.000$ que cuestan estos manuscritos. Luego quizas te tengas que dejar otros tantos en construírte la maquinita (a menos que las instrucciones sean algo así como meter la cabeza en un microondas), y ya estás listo para jugar con la dimensión temporal. Yo voy a vender también viajes en el tiempo por ese precio. Con un helicóptero llevaré gente desde aquí, digamos a las 8 de la tarde, hasta Canarias. Con suerte tardaremos menos de una hora, así que habremos conseguido viajar entre 10 y 15 min al pasado!!! No es increíble?!!!

Si lo que quieres es dejarte el dinero en lugar de ganarlo puedes pasarte por Ikea (ya estoy salivando). Si no sabes ni cómo moverte por ahí es mejor que hables con Anna (arriba a la derecha), la asistenta virtual. Le daré 500€ al que consiga ligársela (yo le he dicho que me enseñe sus tetas, pero se inventa malas excusas y me pone cara de "puaj, qué asco de pervertido"). Qué mierda de párrafo este, no?

Para el final he dejado una gran noticia. A través de Internet puedes, entre otras cosas, buscar pareja (pero nada de mentir, que ya os veo diciendo que medis 2 metros y que tenéis unos cuerpazos y un rabo de 24cm con estrías y que hasta vibra y todo), pero también puedes buscarte un buen divorcio. Y es que dos bosnios se pusieron a ligotear por la red. Hablaron un cierto tiempo, se gustaron y decidieron quedar para conocerse y tal y cual. Cuando se vieron....... bueno, fue algo así:

- Pero..... pero tú......... pero si tú eres mi mujer!!!
- Y tú mi marido!!! Qué haces aquí!!!
- Maldita zorra!!
- Cabrón!!

Pues sí, ponerle los cuernos a tu pareja con tu propia pareja no tiene precio, salvo los costes del juzgado para divorciarse, eso sí. Amigos, lo volveré a repetir: Internet es así. Por eso no me extraña que Elton John quiera cerrar Internet como si fuera un bar cualquiera. Sigue así, Elton, nosotros te apollamos!! Con piedras, pero te apollamos...

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